Quelle star ce Robinson…
Il a vraiment été croqué à toutes les sauces.
C’était l’extrait de la boite précédente (bravo Amélie!).
En voilà une autre.
« Quand il s’aventurait sous les arbres, dit-elle, il devait se méfier du renard et de la martre ; quand il s’approchait du lac, il devait penser aux loutres ; s’il restait assis sur les murets, il ne devait pas oublier la belette qui savait se glisser par le moindre trou, et s’il pensait s’allonger pour dormir dans un tas de feuilles, il valait mieux d’abord vérifier que la vipère n’avait pas choisi l’endroit pour hiberner. S’il sortait en terrain découvert, il lui fallait garder un oeil sur l’épervier et la buse, sur l’aigle et le faucon qui planaient haut dans le ciel. Dans les coudraies, il risquait d’être capturé par l’émouchet ; les pies et les corbeaux étaient partout et mieux valait pour lui s’en méfier. Dès le crépuscule tombé, il devait ouvrir grand ses oreilles pour épier les grosses chouettes qui battaient si silencieusement des ailes qu’elles pouvaient le surprendre avant même qu’il découvrît leur présence.
En entendant qu’il avait tant d’ennemis mortels, le garçon se dit qu’il ne réussirait jamais à rester en vie. »
Quand nous étions enfants (non non pas à Vienne…) il y avait chez toi un Peter Pan qui n’était pas la version de James Lurrie. J’ai un souvenir d’une illustration avec un bébé endormi, c’est ça ?
Non ce n’est pas ça mais ça aurait pu. Je te mettrai l’illus en question dans le prochain article.
biz
oh ouiiii !!!! merci, déjà Poucette sur ton bandeau ça m’a rappelé des souvenirs !