Pas facile d’arriver jusqu’Ã Clermont…
Tout commence par une grève de train.
Qu’Ã cela ne tienne je m’embarque dans un taxi pour une heure de route jusqu’Ã Ussel
A Ussel, une petite heure d’attente me permet de prendre quelques photos.
Il fait beau hein ?
Me voilà dans le bus pour une heure et demi de voyage.
Le paysage défile sous mes yeux, la campagne est magnifique.
Et puis j’arrive à Clermont.
Sur la biennale je vois des carnets magnifiques.
Je rencontre un public très sympa (petit bonjour amical aux enseignants qui ont une fille au collège, je pense qu’ils se reconnaitront) avec qui je prends beaucoup de plaisir à discuter.
Tiens je croise deux trousses sur mon chemin.
Celle de Véronique Vernette.
Et celle de Guillaume Reynard.
Voilà , pour finir, j’aimerais remercier les organisateurs de la manifestation mais je ne peux pas car je ne les ai pas vus.
Je remercierai donc la télé de mon hôtel pour son accueil chaleureux.
Retour chez moi dimanche soir, il est 23 hrs quand je retrouve ma petite famille…
Quel dommage !Cela fait six ans que je suis invitée à la Biennale, et sincèrement c’est l’une des plus jolies manifestations que je connaisse. Les organisateurs, bénévoles pour la plupart, se plient en quatre pour satisfaire les 150 invités… mais apparement il y a parfois des loupés… J’espère que tu ne resteras pas sur cette impression négative et que tu reviendras. Je rêvais de te rencontrer autrement que virtuellement, et là aussi, c’est un échec car je n’y suis pas parvenue. Une autre fois j’espère !
Merci beaucoup, je ne dis pas non pour les idées. Je te le redemanderai en tant voulu. En tout cas c’est très gentil de ta part.
Antonia, oui je suis d’accord avec toi, c’est dommage…
Je me fiche pas mal du tapis rouge et de la corbeille de fruits dans la chambre d’hôtel. Par contre le « PAN sur les doigts » de l’organisateur le dimanche à 16 hrs parce qu’il n’y avait pas de carnets sur ma table, ni de dessins sur les panneaux derriere moi, j’ai failli en avaler mon pinceau, comme accueil j’ai connu mieux. J’espérais aussi te rencontrer. Une autre fois peut-être, mais à la biennale de Clermont, j’en doute.
Alexandre, à bientôt !
Â
L’avantage c’est que la télé ne peux pas te gueuler dessus ou en tout cas tu peux couper le son.
oui c’est bien vrai ça !
hello Aurélien !