Au salon de Sarlat, il y a une dizaine de jours (je sais, je suis pas en avance), une récolte de trousses.

Mais d’abord, ô fierté, mon affiche géante accueille les visiteurs du salon.

Vous en rêviez, les voici, les voilà, les feutres de Pierrick Bisinski l’homme qui découpe plus vite que son ombre…

…non loin de la trousse arc-en-ciel de Martine Perrin…

…du  stylo en bois de Jean-Luc Luciani…

…et de celui de Muriel Diallo.

Il a fait le voyage du périgord pourpre vers le périgord noir c’est Stéphane Nicolet qui a la palme du plus joli panneau.

Je retrouve mes copines les conteuses après la représentation du Baobab.

Je ne peux pas finir cet article sans envoyer un petit coucou à Evelyne et Michel, mon papa et ma maman de Sarlat qui m’ont accueilli comme une reine (le mot est faible).