Il y a quelques jours je suis partie travailler un projet d’art plastique avec les écoles de Baraqueville. De la fenêtre d’une des écoles, je voyais au loin l’Aubrac et je me disais que j’aurais bien accompagné Emilien parti là-bas le matin pour acheter quelques vaches.
Bon sang, et moi donc…
Par chez nous il neige 1 cm par demi-heure et je dis par chez nous mais je crois que par ailleurs serait plus juste car on ne reconnaît plus rien ici le petit poucet lui-même confirmerait d’ailleurs où suis-je et qui ?
Par chez nous il pleut comme vache qui…
Personnellement j’ai jamais mais alors jamais vu une vache pisser. Pourtant c’est pas faute d’avoir regardé. Mais peut-être que je regardais pas au bon endroit.
(Un jour, une fille me dit en regardant un chat : oh ! regarde ! tu as vu ce qu’il a sous la queue, c’est quoi ? / C’est ses couilles, que je réponds / Ah bon ??!! C’est vrai ? Oh je pensais pas que c’était là , qu’elle a dit / Ben si, tu croyais que c’était où, au bout de la queue ? j’ai répondu. )
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Je crois que la vache qui ouvrait « l’estive », suivie par toutes les autres, (c’est à dire la montée sur les plateaux pour le printemps et l’été), était super décorée justement avec fleurs et rubans.
A faire confirmer par un aveyronnais.