Aujourd’hui, alors qu’il pleut comme vache qui pisse, je repense avec nostalgie à ma journée d’hier.
Belle journée ensoleillée où, ma petite voiture et moi avons fait un périple jusqu’à Jussac dans le Cantal. Objectif : continuer l’atelier commencé il y a quelques semaines (ceux qui suivent ce blog sont au courant, les autres…hum, je préfère ne rien dire…)
Ah que la campagne était jolie !  Les belles vaches Salers couleur chocolat dans les prés verts. Les jeunes poulains maladroits au milieu des pissenlits.
Bien sûr certains ricaneront à l’évocation de ces bucoliqueries, je les entends déjà mais croyez moi ça valait le coup d’oeil.
Et devinez quoi, j’avais oublié mon appareil photo. Donc au choix, réjouissez-vous ou lamentez-vous, vous échappez au reportage digne de la Petite maison dans la prairie.

Du coup, pas d’images faut que je meuble un peu.
Parlons un peu de vous gentils visiteurs.
Vous qui tapez des choses étranges dans les moteurs de recherche et arrivez ici.
Des choses telles que « récupérer une peau de lapin »ou « pantoufles rangées » (j’avoue, je ne peux pas m’endormir si mes tatannes ne sont pas rangées pile-poil au milimètre)
Ou « citrouille conserve », « boite de conserve ouverte » ou « lame pour ouvrir les boites de conserves » (ça m’apprendra à parler de ma collec de boîtes de sardines)
Je ne parle pas de « cageot » ou « placard » qui battent des records.
Et « caravane »…alors là mes amis, franc succès pour « caravane » . L’été n’est pas loin faut penser à aérer, siliconer les joints et regonfler les pneus, c’est mon petit conseil du jour.

Enfin, pour finir avec les statistiques, en très bonne place vient « faux vlaminck ». Ah, ah, les petits malins qui veulent devenir faussaire et qui pensent trouver ici le mode d’emploi, je vous vois venir. Je sais c’est tentant, avec cette crise et tout et tout, j’y ai pensé moi-même…

Non, j’avais parlé de ce faux Vlaminck (et toc 20 visiteurs de plus) trouvé à Emmaüs, rappelez-vous. 

Inspiré par un vrai Vlaminck que j’ai enfin trouvé après des années de recherches assidues, le voici, le voilà.


Euh, çuilà je l’ai pas acheté bien sûr.