Que s’est-il passé depuis ces derniers petits théâtres ?

A défaut de mouiller ma chemise, j’ai sali mon tee-shirt à grand coup de gouache et je suis venue à bout de ces 40 illustrations à réaliser pour un manuel scolaire.

La preuve en image et épinglée à une branche de figuier :

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Toute contente, j’estimais que le coup de collier valait bien un petit cadeau de fin de boulot.

Ce fauteuil vert poilu passait par là : ni une, ni deux je l’embarquais pour la modique somme de 3 euros.

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Vous conviendrez avec moi qu’il est d’une fraicheur  désarmante, il fleure bon le printemps, les gazouillis et les fleurettes (et je me demande comment je vais me retenir de ne pas le peigner avec amour toute la journée…)

Ah qu’il aurait été joli au salon du livre d’Eaubonne au milieu des beaux décors préparés par les classes.

Pas de photos Maria ?

Non car le périple était long et l’appareil photo trop lourd. Vous trouverez heureusement un petit compte-rendu chez Véronique.

Chouette nous dédicacions à côté !

Quelques jours plus tard l’appel du large se fit entendre à nouveau et je préparai mon baluchon direction Rodez. à la rencontre des étudiants de l’IUFM.

Je n’étais pas toute seule, les originaux du Carnet de Théo étaient là aussi, exposés toute la semaine.

Un petit atelier suivit pendant lequel les étudiants planchèrent sur un paysage.

Que de voyages sur cette table !

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 Le mien n’était pas fini et se poursuivit entre pluie, grêle, neige et soleil jusqu’à Millau ou je rencontrais la classe de Jeanne.

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Puis il fallut rentrer.

Un petit moment pour regarder les éoliennes géantes brasser les nuages et je pris la route du retour.

 *hé, rien à voir mais j’en profite pour remercier tous les gentils commentateurs du précédent message. J’étais pire que Gaston Lagaffe dans le traitement de mon courrier en retard mais ça y est c’est réparé. bisettes.